Les blagues "cérébrales"
(NB : certaines de ces blagues nécessitent
seulement de
savoir compter,
d'autres réclament une culture
mathématique pouvant
aller jusqu'à la math spé,
ou des connaissances en informatique non triviale).
(NB bis : Merci au Grand Maître
Nicolas Cordier et à
Jean-Yves Rehby pour certaines de ces blagues)
Mon premier est un mammifère à queue plate qui ne
peut
pas s'asseoir.
Mon second est un mammifère à queue plate qui ne
peut
pas s'asseoir.
Mon troisième est un mammifère à queue
plate qui ne peut
pas s'asseoir.
Mon tout est le rapport de la circonférence au
diamètre.
Qui suis-je ?
Réponse : PI (3 castors sans
chaise)
Lors d'un grand jeu
télévisé, les trois concurrents
se trouvent être un ingénieur, un physicien et un
mathématicien.
Ils ont une épreuve à réaliser. Cette épreuve
consiste à construire une clôture tout autour d'un
troupeau
de moutons en utilisant aussi peu de matériel que possible.
L'ingénieur fait regrouper le troupeau dans un cercle, puis
décide
de construire une barrière tout autour.
Le physicien construit une clôture d'un diamètre
infini
et tente de relier les bouts de la clôture entre eux jusqu'au
moment
où tout le troupeau peut tenir dans le cercle.
Voyant ça, le mathématicien construit une
clôture
autour de lui-même et se définit comme
étant à
l'extérieur.
Il y a trois sortes de personnes : celles qui savent
compter, et celles
qui ne savent pas.
(1ère version)
Un mathématicien, un physicien et un informaticien veulent
démontrer
que tous les nombres impairs sont premiers.
Le physicien : « 1 est premier, 5 est premier, 17
est premier,
donc en interpolant, tous les nombres impairs sont premiers. »
Le mathématicien : « 1
est premier, 3, 5, 7, pas 9, mais
11, 13, 17, 19 sont premiers, donc pour tout n impair
différent
de 9, n est premier. »
L'informaticien : « Attendez, je vais
vous mitonner un de ces
petits programmes en C++ qui va tester tous les nombres premiers. »
D'où :
1 est premier. 1 est
premier. 1 est premier. 1 est premier. 1 est premier. 1 est premier. 1
est premier. 1 est premier. 1 est premier...
(2ème version, un peu
différente et plus longue) (Merci
Jean-Yves)
Un mathématicien, un physicien, un
informaticien, un biologiste
et un littéraire veulent démontrer que tous les
nombres impairs
sont premiers.
Le mathématicien :
« 1 ça marche, 2 et 3, ça marche, 5 et 7
ça marche,
9 ça marche pas. ! Elle est débile votre
règle ! »
Le physicien :
« 1 ça marche, 2 et 3 ça marche, 5 et 7
ça marche,
9 ça marche pas, c'est un résultat
expérimental aberrant.
11 et 13 marchent... La règle est vrai. »
L'informaticien :
« 1 ça marche, 2, ça marche, 3 ça
marche, 5 ça
marche, 7 ça marche, 9 ça marche pas, 9
ça marche
pas, 9 ça marche pas... »
Le chimiste :
« 1 ça marche, 2 ça marche, 3 ça
marche, 5 ça
marche, 7 ça marche, 9 ça marche, 11
ça marche, 13
ça marche, etc... Donc la règle est vraie. »
Le biologiste :
« 1 est premier, 2 est premier, 3 est premier, 4 est premier... »
Le littéraire :
« C'est quoi un nombre premier ??? »
(NB : Selon les
définitions actuelles, 1 n´est plus
considéré comme premier. Mais alors la blague tombe par
terre...)
Il y a deux catégories de personnes : celles
qui divisent tout
en deux catégories et les autres.
On demande à un architexte, un physicien et
un mathématicien d'imaginer un
espace à 4 dimensions.
L'architecte dit : « C'est impossible ! Je ne peux pas dessiner
ça ! »
Le physicien dit : « Mouais, si on suppose que le temps est la
quatrième dimension, ça peut se faire. »
Le mathématicien finit par : « Facile ! Imaginons un
espace à n dimensions.
Puis posons n=4. »
Le savant Heisenberg est arrêté sur l'autoroute
par un
policier. Celui-ci lui demande ses papiers et lui demande : «
Vous savez à quelle vitesse vous rouliez ?
- Non, répond Heisenberg, mais je sais où je suis
! »
- Comment s'appelle un 69 avec une Polonaise ?
- Une Polonaise inversée.
- Qu'est-ce qu'un homme complexe dit à une
femme réelle ?
Réponse : « Viens danser ! ». ( « dans C »,
l'ensemble des complexes)
Une grosse société organise
annuellement le concours du
meilleur ingénieur de développement, du meilleur
ingénieur
de support et du meilleur ingénieur d'affaires. Cette
année,
les trois lauréats (un dans chaque catégorie) ont
gagné un
voyage sur le thème « chasse à l'ours au Canada »
dont le
but sera de ramener une peau d'ours.
L'ingenieur de développement arrive sur les
lieux, dans une
combinaison camouflée en Gore Tex. Il dispose d'un
traîneau
en aluminium et fibre de carbone de type tubulaire. De son sac
isotherme
étanche à 40 mètres, il sort
un fusil avec jumelles
de vision nocturne, véritable arme de guerre. Fin
prêt, il
revient d'un stage de survie en milieu hostile. Il part à la
chasse
à l'ours le lendemain matin à 9 h. Les
organisateurs
attendent toute la journée. Ils entendent un coup de feu
vers 16 h, puis plus rien... À 18 h précises,
l'ingénieur
revient avec une peau d'ours soigneusement arrimée au
traîneau.
Arrive l'ingénieur du support. Il n'a pas de
traîneau,
son vieux coupe-vent Microsoft prend un peu l'humidité mais
sa casquette
Computer Associates lui permettra de ne pas être
ébloui le
moment venu. Son couteau suisse un peu rouillé lui
sera fort
utile pour dépecer l'animal. Son vieux fusil fonctionnait
jusqu'à ce qu'il s'en serve comme manche de pioche il y a
un mois dans son jardin. Aujourd'hui, le canon est un peu
plié.
Voyant l'attirail de l'ingénieur de
développement, il lui
demande de le lui prêter, y parvient non sans quelques
réticences,
et part à la chasse, avec deux heures de retard, le
lendemain
matin... Les organisateurs l'attendent patiemment toute la
journée,
ainsi que le lendemain matin. A 11 h, ils entendent 18 coups de feu, en
tir plus ou moins rapprochés. Vers 19 h,
l'ingénieur du support
revient péniblement. Il a plié le fusil de
l'ingénieur, abîmé
le traîneau, déchire son coupe-vent... Mais enfin,
il a tout
de même réussi à attacher tant bien que
mal un ours
blessé par un seul ricochet de balle sur le
traîneau !
Arrive enfin l'ingénieur commercial, en
costume trois pièces,
son portable, sa carte Fréquence Plus Rouge en poche, son
attaché-case
à la main. Il n'a pas lu le dépliant du voyage.
On lui explique quatre fois le but de sa mission.
L'ingénieur support
lui propose son matériel (c'est toujours mieux
que rien). Il refuse tout en vrac et part à la chasse sur le
champ.
Trois jours plus tard, les organisateurs n'ont aucune
nouvelle de lui.
Le soir, alors qu'ils désespèrent de le voir
revenir, le
commercial surgit d'un sous-bois, avec toute une horde d'ours
affamés
à 15 mètres derrière lui. Il passe
à leur hauteur
(sans s'arrêter) en hurlant : « Voilà les ours,
maintenant,
démerdez-vous !!! »
- Quelle est la racine carrée de 69 ?
- 8, xxxxx (« ate something »)
- Qu'est-ce qu'un ours polaire ?
- Un ours cartésien qui a changé de
coordonnées.
Un physicien, un mathématicien et un logicien
sont dans le même
compartiment dans un train et traversent la campagne anglaise. Ils
aperçoivent
un mouton dans un champ.
- « Tiens donc, dit le physicien, il est noir ; les moutons
anglais sont donc noirs !
- Nenni, interrompt le mathématicien, nous pouvons juste
dire
qu'il y a au moins un mouton noir en Angleterre.
- Ou plutôt, corrige le logicien, il a existé,
pendant
au moins quelques secondes, au moins un mouton anglais qui, d'un
côté
au moins, était noir. »
- Un éléphant et son
père se baladent dans la savane.
L'un des deux est castré. Lequel ?
- Le père car l'heureux père barrit sans trique.
- Les fonctions logarithme et exponentielle sont au
restaurant. Quand
viendra l'addition, qui payera ?
Réponse : Exponentielle, car
logarithme né paie
rien.
Un mathématicien et un physicien sont sur une
terrasse de café. Un feu se déclare. Le physicien
se précipite, prend un seau d’eau, le remplit et
éteint le feu.
Le lendemain, un nouveau feu se déclare. Le
mathématicien se lève, prend le seau
d’eau et le donne au physicien. « Je viens
de résoudre le problème en le ramenant
à une solution déja existante »
déclare-t-il.
Je suis nul en calcul pour trois raisons :
- ça ne m'intéresse pas,
- je compte faux.
Un chef d'entreprise cherche un ingénieur.
Quatre personnes répondent
à l'annonce qu'il a passée.
Le premier est un polytechnicien (ou un centralien, voire pire : un
normalien).
« Bien monsieur, demande le patron, j'aimerais que vous comptiez
jusqu'à dix.
- Si vous voulez. Mais dans quelle corps dois-je compter ?
- Ben vous comptez, voilà !
- Oui, mais dans IR ou dans IR* ? Doit-on considérer ce
corps
comme commutatif ou pas ? La loi de composition interne est-elle + ou .
?
- Bon, okay, laissez tomber... »
Le suivant est un informaticien (ENSIMAG, Mines,
SupTélécom,
tout ce que vous voulez)
« Pourriez-vous compter jusqu'à dix, s'il vous
plaît ?
- Pas de problème : 1, 10, 11, 100, 101, 110, ...
- C'est bon, c'est bon, allez-y, on vous écrira. »
Le troisième est aussi un
informaticien.
« Vous pourriez compter jusque vingt, s'il vous plaît ?
- No problem : 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, A, B, C, D, E, F, 10...
- Merci , ça ira. »
Le dernier est un faqueux (pour les profanes c'est ainsi
que l'on appelle
ceux qui sont à la fac - ou en sortent)
« Comptez jusqu'à dix, je vous prie.
- 1, 2, 3, 4, 5, 6, ....
- C'est bon, ça marche, vous êtes pris.
- Ah mais attendez, il faut aller jusqu'au bout : 7, 8, 9, ...
- Ça suffit, je vous dis, vous êtes
embauché !
- Mais je peux encore aller plus loin ! 10, valet, cavalier,
dame, roi... »
Il ne faut jamais traiter quelqu'un de compact, c'est une insulte.
Parce qu'un compact est un fermé borné !
Deux hommes se déplaçant en ballon
sont perdus dans le
désert. Ils aperçoivent un individu en train de
méditer
à l'ombre d'un arbre.
« Où sommes-nous, s'il vous plaît ? » lui
demandent-ils.
Après un long moment de réflexion, l'homme leur
répond :
« Dans un ballon.
- Merci, monsieur le mathématicien. »
L'homme demande étonné :
« Comment avez-vous su que j'étais mathématicien
?
- Pour trois raisons, répondent les aéronautes.
Premièrement,
vous avez beaucoup réfléchi avant de nous
répondre.
Deuxièment, votre réponse est très
exacte. Troisièmement,
elle ne sert à rien. »
Un chirurgien, un ingénieur du
génie civil et un informaticien
discutent. Chacun cherche à montrer que son
métier est le
plus ancien.
Le chirurgien :
« Dans la Genèse, il est dit que Dieu fit Ève avec une
côte
d'Adam. C'est bien une opération chirurgicale,
ça. C'est
la chirurgie la plus ancienne.
- Ah, ouais, fait l'ingénieur ? Et avant de créer
Adam
et Ève, Dieu avait créé la Terre, enfin tout
l'univers à
partir du chaos. C'est pas du génie civil, ça ? »
L'informaticien se marre :
« Et le chaos, hein, qui l'a inventé ? »
Défi aux informaticiens-poêtes :
« Pas caps d'écrire vos programmes en alexandrins ! »
Les scientifiques de la NASA sont parvenus à
décoder cette
semaine le premier message dont l'origine extra-terrestre a
été
confirmée.
Voici le texte du message : « Oui, ça marche
vraiment !
Envoyez simplement 5*1050 atomes
d'hydrogène à chacun des 5 systèmes
solaires
suivants. Puis ajoutez votre propre système solaire en haut
de la
liste, effacez le système solaire en bas de
la liste, et envoyez des copies de ce message à 100 autres
systèmes
solaires.
Si vous suivez ces instructions, en moins de 0,25
rotation galactique,
vous serez assuré de recevoir assez d'hydrogène
en retour
pour accroître la puissance de votre civilisation
jusqu'à
ce l'entropie atteigne son maximum ! »
Bonjour, vous avez rejoint la messagerie vocale d'aide
psychiatrique.
Si vous êtes un obsessif-compulsif, appuyez sur le 1 sans
arrêt.
Si vous êtes dépendant affectif, demandez
à quelqu'un
d'appuyer sur le 2 pour vous.
Si vous souffrez d'un désordre de personnalité
multiple,
appuyez sur les 3, 4, 5 et 6.
Si vous êtes paranoïaque, restez en ligne, nos
agents tracent
votre appel.
Si vous êtes schizophrène, écoutez
attentivement
et une voix vous dira sur quel numéro appuyer.
Si vous êtes dépressif, le numéro sur
lequel vous
appuierez est sans importance, personne ne répondra.
Si vous êtes un compulsif a répétition,
raccrochez
et recomposez.
Si vous êtes un aggressif-passif, mettez-nous en attente.
Si vous êtes antisocial, arrachez le
téléphone
du mur.
Si vous avez des difficultés d'attention, ne vous occupez
pas
des instructions.
Un X se balade en voiture en Corse. Finalement, sur une petite route,
il tombe sur un troupeau de moutons mené par un berger et
son chien.
Il attend un long temps mais le troupeau est interminable. Et
finalement,
fier de lui, propose un pari au berger pour passer le temps :
« Si je vous dis combien vous avez de moutons, m'en donnez-vous un
? »
Le berger, un peu étonné d'une telle prouesse :
« Ben, si vous l'voulez ! »
L'X prend sa calculatrice... compute et donne le bon nombre de moutons
dans le troupeau. Le berger estomaqué lui accorde d'en
prendre un.
L'X prend le bestiau... et à ce moment le berger lui propose
un
pari :
« Si j'vous dis votre formation, vous m'rendez mon mouton ? »
L'X est surpris, mais accepte.
« Ben j'crois qu'vous êtes polytechnicien ! »
L'X époustouflé lui demande comment il a fait.
« Ben, c'est simple, seul un polytechnicien pouvait prendre mon chien
pour un mouton. »
Définitions de Pi :
Mathématicien : Pi est le
nombre qui exprime la relation
entre la circonférence d'un cercle et son
diamètre.
Physicien : Pi vaut 3,1415927 plus
ou moins 0,00000005.
Ingénieur : Pi vaut
environ 3.
Informaticien : Pi est une constante
fixée en début
de programme, et dont la valeur exacte varie selon le type de la
variable
(3 si Pi est un Integer, 3.14159 si c'est
un Real, 3.151592653589793+E00 si c'est un
Long,
True si c'est un Boolean).
__
lim \/ 8 =
3
8->9
Un médecin, un légiste et un
informaticien discutent
des mérites comparés d'une épouse et
d'une maitresse.
Le légiste :
« Il vaut mieux avoir une maîtresse. En cas de divorce, une
épouse
pose de nombreux problèmes légaux. »
Le médecin :
« Il vaut mieux avoir une épouse, car le sentiment de
sécurité
réduit le stress, et c'est bon pour la santé. »
Le mathématicien :
« Vous avez tous les deux tort. Le mieux est d'avoir les deux. Quand
votre femme vous croît chez votre maîtresse, et votre
maîtresse
chez votre femme, vous pouvez faire des maths. »
Cinq chirurgiens prennent leur pause café.
Le premier chirurgien dit :
« Les comptables sont les meilleurs à opérer
parce que
quand tu les ouvres, tout est numéroté
à l'intérieur. »
Le deuxième chirurgien dit :
« Non, c'est mieux les libraires. À l'intérieur,
tout
est classé en ordre alphabétique. »
Le troisième répond :
« Essayez les électriciens les gars ! Tout leur
intérieur
est codé en couleur. »
Le quatrième intervient :
« Moi je préfère les avocats. Ils sont sans c&339;ur, sans
couilles, sans colonne vertébrale et leur tête est interchangeable
avec les fesses. »
Le cinquième chirurgien, qui écoutait
tranquillement
la conversation tout en prenant son Jack Daniels (tous les chirurgiens
font ça entre les opérations) dit :
« J'aime les ingénieurs... Eux, ils comprennent quand il te
reste des morceaux un peu partout à la fin. »
Un informaticien raconte à ses copains
informaticiens :
« Hier, j'ai fait la connaissance d'une superbe nana dans une
boîte
de nuit... »
Les copains informaticiens : « Aaaah !
- Je l'invite chez moi, on boit un coup, je commence à
l'embrasser... »
Les copains informaticiens : « Aaaaaaah !
- Elle répond : "Déshabille-moi !"
Les copains informaticiens : « Aaaaaaaaaaaaaaaaah !
- Alors, j'enlève sa culotte, je la soulève et je
l'assoie
sur le clavier de mon PC...
»
Les copains informaticiens :
« T'as un PC à la maison ? C'est quoi comme processeur ? »
Théorème : La
limite de sin(x) / n quand n tend
vers l'infini est 6.
Preuve : Éliminez n du
numérateur et du dénominateur.
Un prof, un post-doc et un thésard se
promènent (ils
vont sûrement à un colloque) quand ils trouvent
une vieille lampe
à huile qui se révèle être
une lampe à
génie. Il leur offre un vœu à chacun.
Le thésard demande à être
envoyé à
Hawaï avec une superbe hawaiienne nue et follement amoureuse
de lui...
Le génie prononce deux-trois formules et
l'étudiant disparaît
vers un monde de volupté !
L'étudiant en post-doc lui demande à partir
en Suède dans un sauna particulier où il serait
le seul homme
au milieu de nombreuses suédoises folles de lui. Le
génie
prononce trois-quatre formules et l'étudiant
disparaît vers
un monde de volupté !
Le génie se tourne ensuite vers le prof et lui demande son vœu.
Le prof réfléchit un peu et dit :
« Je souhaite que tu me ramènes ces deux
imbéciles au
labo immédiatement. »
Théorème : Un
chat a neuf queues.
Preuve : Aucun chat a huit queues. Un chat a
une queue de plus
qu'aucun chat. Donc un chat a neuf queues.
Trois scientifiques, un ingénieur, un
biologiste et un mathématicien
discutent sur la terrasse d'un pub. Ils remarquent que deux personnes
entrent
dans une maison située en face du café. Une heure
plus tard,
trois personnes en sortent.
L'ingénieur dit :
« Les données initiales étaient
erronées. »
Le biologiste dit :
« C'est simple, ils se sont reproduits. »
Le mathématicien dit :
« Si une personne entre de nouveau dans la maison, elle redeviendra
vide. »
- Quel est le comble de la science ?
- Un cheval-vapeur, qui mange des racines carrées dans un
champ
magnétique.
Lors d'une expérience, un ingénieur, un physicien
et un mathématicien sont enfermés chacun dans une
pièce,
avec une boite d'épinard, mais sans ouvre-boîtes.
Vingt-quatre heures plus tard, les portes de chacune des trois
pièces
s'ouvrent.
Dans la première pièce, l'ingénieur
est en train
de dormir avec à côté de lui la boite
de conserve toute
cabossée, mais ouverte et vide. On le réveille et
on lui
demande comment il a procédé. Il explique :
« Quand j'ai eu faim, j'ai pris la conserve et j'ai tapé
sur
son point de moindre résistance. »
Dans la deuxième pièce, le physicien est lui
aussi repu
d'épinards. Il explique :
« Quand j'ai eu faim, j'ai observé la boite,
posé quelques
équations et appliqué une forte pression sur les
points idoines,
et la boite s'est ouverte. »
Dans la troisième pièce, le
mathématicien est
assis par terre dans un coin, la boite d'épinard
à ses pieds
et il marmonne en transpirant à grosses gouttes :
« Supposons que la boîte est ouverte, supposons que la
boîte
est ouverte... »
- Quel est le comble du mathématicien ?
- C'est de se faire piquer sa moitié par un tiers dans un
car.
- Vous savez comment on fait pour savoir si une
porcherie est complète ?
- Réponse : on prend une suite de cochons....
Si on demande à un physicien
théoricien d'étudier
la stabilité d'une chaise, il s'y prend comme suit :
- Il met 10 minutes pour résoudre le cas d'une chaise
à un pied,
- ensuite 1 heure pour résoudre le cas d'une chaise
à une infinité de pieds,
- et enfin 10 ans pour résoudre le cas d'une chaise
à un nombre fini de pieds.
C'est un prof de physique qui demande à ses
prépas si
tout le monde a bien compris ce que c'est que la sublimation. Aussi,
pensant
au glaçon qui passe à l'état de
vapeur, il demande :
« Est-ce que vous pouvez me donner un exemple de solide qui se
transforme
en gaz sans passer par l'état liquide ? »
Et du fond de la classe quelqu'un lance :
« Les fayots m'sieur ! »
Nous avons donc un chasseur de panthères qui souhaite fumer
une
pipe mais qui n'a ni l'ustensile idoine, ni le tabac, ni de feu. Il a
tout de
même un fusil.
Il voit passer une première
panthère. Il épaule,
vise et tire. trop vite sans doute. Il la loupe. Il prend la loupe et
il
la met dans sa poche.
Un peu plus tard, il voit passer une deuxième
panthère
(ou peut-être est-ce la même que la
première qui repasse
par là). Il épaule, vise et tire, et
cette fois la tue. Il prend alors la panthère morte par la
queue,
la fait tournoyer autour de sa tête. Sachant que le
diamètre
d'un cercle est de 2Pi.R, et qu'en l'occurrence R =
panthère, nous
avons donc 2 Pi panthère, soit deux pipes en terre.
Le chasseur glisse l'une des deux pipes dans sa poche et
casse l'autre
qui est superflue. Il l'émiette et avec les miettes, il fait
trois
tas, un tas haut, un tas moyen, un tas bas. Il prend le tabac, en
bourre
la pipe qu'il a sortie de sa poche, y attrape également la
loupe,
se trouve une petite clairière et avec un rayon de soleil
judicieusement
intercepté par la loupe, il allume sa pipe.
Trois ingénieurs ont une discussion
animée sur l'anatomie du corps humain :
Le premier dit :
« Moi je dis qu'il fallait les qualités d'un
ingénieur
en électronique pour être capable de
réaliser ça
: quand on voit la complexité du système nerveux,
c'est évident ! »
Le second :
« Non non, tu te trompes. À mon avis, c'était
impossible
à réaliser sans être
ingénieur en mécanique:
regarde le squelette et toute la dynamique des articulations, c'est
évident ! »
Le troisième :
« Les gars, vous avez faux tous les deux ! C'est un
ingénieur
en travaux publics qui a réalisé le corps humain
! La preuve
? Qui d'autre aurait placé le terrain de jeux à
côté
de la décharge à déchets
toxiques ? »
Deux logiciens se rencontrent :
« Salut vieux ! J'ai de bonnes nouvelles ! Ma femme
a récemment
mis au monde notre premier enfant !
- Félicitations ! C'est un garçon ou une fille ?
- Oui. »
C'est l'histoire
de cet ingénieur qui
faisait une croisière sur un ferry dans les îles
des Caraïbes.
Malheureusement, un ouragan arrive sans prévenir et fait
naufrager le bateau.
L'ingénieur se
retrouve seul, supporté
par un morceau de la coque du bateau, il s'échoue
sur une
île qui semble être
déserte. Et effectivement,
dans les quelques mois qui suivent le naufrage, l'ingénieur
se nourrit
de bananes et de coco, mais ne trouve personne à
qui parler
sur son île.
Résigné,
il ne pense qu'à
une chose : trouver un bateau qui passerait suffisamment
près pour
lui faire signe.
Un jour qu'il était
sur la plage à
rêvasser, il voit cette embarcation qui s'approche.
Serait-ce un bateau ? Non,
malheureusement,
ce n'est qu'un canot de sauvetage... Mais sur ce canot, la femme la
plus
excitante qu'il ait jamais vue. Le naufragé fait alors des
signes
à la naufragée pour qu'elle le rejoigne sur la
plage.
Après qu'elle l'ait
rejoint, il lui
demande d'où elle vient. Elle lui répond :
« Je faisais une
croisière sur un
ferry il y a six mois, lorsqu'un ouragan nous a fait naufrager. »
Le gars lui répond
:
« Fantastique ! Moi aussi
j'étais
sur ce bateau. Mais je n'ai pas eu la chance d'avoir un canot.
- Eh bien oui, j'ai eu de la
chance ; et en
plus, dans la chaloupe de sauvetage, j'ai trouvé beaucoup de
choses
qui m'ont bien aidé pour construire une petit maison.
D'ailleurs,
venez, je vous emmène, c'est de l'autre
côté
de l'île.
»
Et les voilà
partis. Au bout de plusieurs
heures de rame, ils atteignent enfin la petite crique où la
jeune
femme trouvé demeure.
Ils rentrent dans un
très joli petit
cabanon avec chambre, coin salon et coin toilette,
aménagé
avec goût:
« Asseyez-vous. Je vais vous
servir une pina
colada.
- C'est pas vrai, vous avez
récupéré
ça aussi ? »
Et les voilà en
train de boire un coup,
et ils se racontent dans le détail leurs six mois
passés
sur l'île.
Puis la jeune femme dit :
« J'ai
récupéré des
rasoirs aussi : si vous en profitiez ? Votre barbe est longue de 20 cm
! »
L'homme saute sur l'occasion
et profite du
rasoir et d'un miroir qui traînait là.
Sa toilette du visage
terminée, l'homme
repasse dans le salon du cabanon.
La fille lui dit :
-" Hmmm, vous faîtes
une bien meilleure
impression une fois rasé de frais. Je vais passer dans ma
chambre
passer une tenue plus... confortable."
Un peu plus tard, alors qu'il
sirotait sa
pina colada, le gars voit revenir la fille en tenue d'Eve.
L'ingénieur peut
sentir le doux parfum
de son corps venir lui chatouiller les narines... Elle s'approche dans
son dos et il sent la chaleur de son corps irradier toute sa peau, puis
sa bouche vient près de son oreille pour lui susurrer :
« Dis-moi, ça fait
six mois que nous
avons vécu seuls, chacun de notre côté,
enfin, tu vois
ce que je veux dire... Il y a quelque chose qui doit te faire envie,
quelque
chose dont tout être humain a un besoin
irrépressible, quelque
chose... »
Et là
l'ingénieur la coupe :
« Ne me dis pas que
tu as une connexion
internet ?!...»
- Pourquoi est-ce que les chimistes alsaciens ne
prennent jamais les routes nationales ?
- Parce qu'ils préfèrent les autoroutes
à pH.
Dans une deux-chevaux il y a quatre
ingénieurs : un Mécanicien,
un Électronicien, un Chimiste et un Informaticien.
Tout à coup la voiture s'arrête et le moteur
s'éteint.
Le Mécanicien dit :
« Je le savais, c'est un problème de transmission.
- Mais non, dit l'ingénieur chimiste, c'est la faute des
acides de la batterie !
- À mon avis c'est le circuit
électronique qui ne marche
plus ! » dit l'électronicien.
L'Informaticien en dernier : « ... et si on essayait de fermer
toutes les fenêtres, de sortir, et après de
rentrer à nouveau ? »
À la soirée d'accueil des
fonctions, Logarithme va voir Exponentielle
qui boude sur une chaise :
« Allez viens ! Viens t'amuser ! C'est la soirée
rêvée pour
se fondre dans l'esprit des fonctions !
- Oh, tu sais, que je m'intègre ou non, c'est pareil... »
De l'
Inégalité
de Von Neumann a été déduite
par Christophe Camel
toute une
Théorie
des Bugs.
Extrait du Document Officieusement Officiel
N°04523-BIVX-13-156
du 31 Février 2027, articles 27,32 & 879. Par
Messieurs Gonzague
Zprunt & Howard Melbzeute, respectivement Ministres de
l'Education
et de la Glandouille.
Note à l'intention des
professeurs et
des élèves des classes de
Mathématiques Spéciales
: A tous les théorèmes supposés
êtres connus
en classe de maths spé ( Quai : Les Hamilton, Chaud Les
Skis...
) s'ajoutera ceux des Pipeaux qui seront censé
être parfaitement
maîtrisés [...] et utilisés le plus
souvent possible
par les élèves.
Voici
une description qui se veut exhaustive des
Théorèmes
des Pipeaux :
-> Théorème du
Pipeau Relatif (du
XVème siècle avant
notre ère, énoncé par le chinois Ni
Vuh ) :
"
Tout ce qui peut ne pas être faux est vrai
".
(
Nouvelle version, qui remplace le " Ouais, c'est possible
"
)
Par exemple, si l'on demande de prouver l'existence d'une fonction,
et que l'on voit pertinemment que cette fonction est
utilisée plus
bas dans l'énoncé, on écrira : Selon
l'énoncé,
cette fonction existe. (Si cette fonction n'existait pas, on
ne travaillerait
pas dessus !)
Il en
est de même pour justifier l'inversiblité d'une
matrice
dont le nombre de colonnes excède deux, pour montrer
l'intégrabilité
d'une fonction, ou pour répondre à toute question
du type
: " Montrer que : ... " .
De plus,
si, lors d'un calcul, on trouve une valeur de Pi
proche du chiffre vingt-huit, on admettra que celui-ci est
équivalent à
3.14159 pour x tendant vers une valeur décrivant le corps
des complexes.
->
Théorème du
Pipeau Absolu ( 1823,
énoncé par le français
Jean Brouille ), ou trivialité absolue :
"Selon la question n°(-), c'est trivial
".
S'utilise pour des calculs plus complexes, et en
particulier :
- Quand on pompe sur le voisin.
- Pour calculer l'intégrale triple d'une matrice de rotation
d'un projecteur d'une dérivée d'un endomorphisme
en dimension
infinie.
- Quand on fait partie du club des "glandus".
- Pour inverser une matrice à déterminant nul.
- Si ça fait une heure qu'on sèche sur la
question.
- Si le voisin à côté à mis
pareil.
- Pour montrer qu'il existe des entiers naturels a,b,c et n ,
n>2 tel
que a^n+b^n=c^n.
- Pour englober n'importe quel autre théorème ( y
compris
celui de Maxwell-Palappen-Danrajouter. )
- Quand c'est vraiment dur.
- Si le résultat obtenu est presque celui qu'on cherchait.
- Quand on a mal à la tête.
- Quand on est au petit a du petit 1 du grand I
au bout
de trois heures le jour d'un concours.
- Quand on en est à trois pages de calcul sur cette
même
question.
- En colle, quand on est censé le savoir et qu'on l'a
oublié
( ou qu'on l'a pas appris ).
- Une de ses applications les plus fréquentes est, lors
d'une
interrogation orale, dire "c'est évident", "on voit bien
que...",
ou bien "d'après le cours ...".
->
Théorème du
Pipeau Universel ( 1937,
énoncé par le
russo-thibétain Nikko Nnu ), ou trivialité
universelle, extension
du théorème de Cauchy-Pabougy .
S'énonce de la façon suivante :
" C'est trivial ".
Connu plus familièrement sous le nom de
Samhpran-Lattètt,
ce théorème sert dans absolument tous les cas de
figure (c'est-à-dire
les occurrences énoncées
précédemment), et
de plus en plus dans les problèmes de Maths & de
Physique. On
mettra simplement dans la marge entre deux lignes à
transition douteuse
une flèche se dirigeant d'une ligne vers l'autre, en prenant
soin
d'indiquer "selon le pipeau universel". Les professeurs ont pour
consigne
de mettre la totalité des points accordés
à la question
pour une réponse de ce type.
Pour finir, les élèves pourront se
dispenser de citer
les Théorèmes des Pipeaux (Relatif,Absolu
& Universel
) dans toutes les épreuves, en disant simplement que l'on
utilise
le théorème de Ni Vuh - Nikko Nnu - Jean
Brouille.
Gezzed@usa.net
http://gezzed.home.ml.org
(Site apparemment mort...)